Ce métier paie jusqu’à 15 000 € net par mois et personne ne veut le faire, pourtant il est vital

Je vais te parler d'un métier crucial pour notre système judiciaire, mais qui reste méconnu du grand public : le commissaire de justice.

Découverte d’un métier essentiel mais peu connu #

Imagine un professionnel qui intervient à chaque étape clé de la mise en œuvre de la loi, de la signification des jugements à l’organisation de ventes aux enchères.

Pourquoi ce désintérêt malgré les avantages ? #

Pourtant, malgré un salaire pouvant atteindre 7 500 euros nets par mois, les candidats se font rares.

Les raisons ? Un parcours d’études exigeant et un concours difficile, mais surtout, une méconnaissance profonde des missions variées et enrichissantes que le métier propose.

Efforts pour renouveler l’attrait pour la profession #

Face à ce constat, des efforts importants sont déployés pour attirer de nouveaux talents.

Les campagnes de communication et les partenariats avec les universités sont intensifiés afin de sensibiliser les étudiants dès le début de leur cursus.

  • Obtenir un master en droit
  • Passer le concours d’entrée à l’INCJ
  • Suivre la formation spécialisée à l’INCJ
  • Effectuer un stage pratique

Ces étapes sont cruciales pour rejoindre ce métier qui offre non seulement une rémunération attractive, mais aussi une véritable stabilité professionnelle.

L’importance vitale de ce métier pour la société #

Les commissaires de justice jouent un rôle indispensable dans l’application effective des lois, contribuant à la stabilité et à l’équité de notre système judiciaire.

Leur expertise est également cruciale dans la prévention des conflits, grâce à leur capacité à établir des constats et des vérifications avant que les situations ne s’escaladent.

Opportunités pour ceux prêts à relever le défi #

Le faible nombre de professionnels face à une demande croissante crée une opportunité unique pour ceux qui choisissent de suivre cette voie.

Avec des perspectives d’évolution continue, grâce notamment à l’intégration des nouvelles technologies, ce métier est non seulement dynamique mais aussi adapté à ceux qui cherchent à faire une différence tangible dans la société.

Pourquoi envisager cette carrière ? #

Voici quelques raisons convaincantes pour envisager une carrière de commissaire de justice :

  • Rémunération attractive : souvent autour de 7 500 euros nets par mois
  • Missions variées et enrichissantes
  • Insertion professionnelle rapide grâce au numerus clausus
  • Sécurité de l’emploi et possibilités d’évolution
  • Importance sociale et juridique du rôle joué
  • Flexibilité géographique offrant des opportunités partout en France

Si tu es passionné par le droit et la justice, ce métier offre une voie stable et excitante pour faire valoir tes compétences et ta passion.

54 avis sur « Ce métier paie jusqu’à 15 000 € net par mois et personne ne veut le faire, pourtant il est vital »

  1. Les études pour ce métier sont-elles vraiment aussi difficiles qu’on le dit ? Quelqu’un a des stats sur le taux de réussite au concours ?

    Répondre
  2. Les efforts pour attirer des talents sont louables, mais il faudrait peut-être revoir la formation pour la rendre plus accessible.

    Répondre
  3. C’est une belle opportunité, mais le parcours semble vraiment long et difficile. Pas sûr que beaucoup soient prêts à l’effort ! 😓

    Répondre
  4. J’ai demandé à ChatGPT qu’il réponde aux questions des commentaires. Voilà sa réponse :

    Tu fais bien de poser ces questions, car le métier de commissaire de justice est encore méconnu, alors qu’il a plein d’avantages pour ceux qui aiment le droit, la rigueur… et qui ne sont pas trop allergiques aux situations tendues parfois. Voici un panorama complet, clair et sans jargon :

    1. C’est quoi un commissaire de justice ?

    Depuis juillet 2022, ce métier fusionne les anciens huissiers de justice et commissaires-priseurs judiciaires.

    Leurs missions :

    Signifier les actes de justice (convocations, décisions, etc.)

    Procéder à l’exécution des décisions de justice (expulsions, saisies…)

    Constater des faits via des procès-verbaux (dégâts des eaux, nuisances, etc.)

    Organiser des ventes aux enchères judiciaires (pour les biens saisis)

    Conseiller juridiquement, notamment en recouvrement de créances

    C’est donc un métier avec une bonne dose d’autorité, de contact avec les gens et d’indépendance.

    2. Quel parcours après le bac ?

    Après un bac général (souvent ES ou L puis aujourd’hui STMG ou général avec spé SES/droit) :

    Licence de droit (3 ans)

    Master 1 de droit (1 an)

    Passer le concours d’accès à l’École nationale de commissaires de justice (ENCJ)

    Après un bac pro (services/accueil) :

    Reprendre un parcours universitaire en droit reste possible, mais souvent il faut viser une mise à niveau (DU passerelle ou BTS juridique)

    Ensuite enchaîner sur une licence de droit, puis master, comme pour un bac général

    En bref : le parcours est long (minimum 5 ans après le bac), mais possible même avec un bac pro si tu es motivé(e) !

    3. Et le concours, il est dur ?

    Oui, c’est un concours exigeant car il y a :

    Une épreuve écrite (cas pratique juridique)

    Une épreuve orale (entretien sur les missions, éthique, motivations)

    Puis une formation de 18 mois à l’ENCJ (alternance cours/stage)

    Et enfin un examen final de contrôle des connaissances

    Les taux de réussite sont corrects si tu viens d’un Master en droit et que tu bosses sérieusement. C’est surtout la formation qui trie les plus motivé(e)s.

    4. Vie pro / vie perso ?

    Les commissaires de justice peuvent :

    Travailler en libéral (leur propre étude = plus de liberté mais aussi plus de responsabilités)

    Ou être salariés d’une étude

    Horaires : ça dépend du mode d’exercice. En libéral, on travaille beaucoup (urgences, délais, astreintes parfois), surtout les premières années. Mais :

    Pas de permanences de nuit

    Pas d’astreinte week-end, sauf cas très particulier

    Pas mal de déplacements sur le terrain (domiciles, entreprises…)

    C’est donc intense, mais pas invivable. Le rythme se stabilise avec l’expérience.

    5. Les difficultés du métier ?

    Affronter des situations parfois conflictuelles (expulsions, saisies, constats de voisinage…)

    Résister au stress, rester impartial, garder son sang-froid

    Se mettre à jour juridiquement tout le temps

    Avoir un bon relationnel, même face à des gens pas contents de te voir débarquer

    Et le poids administratif, comme souvent dans les métiers de justice

    Mais ce sont aussi ces défis qui en font un métier respecté, bien rémunéré, et intellectuellement stimulant.

    6. Et justement, ça paye bien ?

    Oui :

    Un jeune commissaire salarié gagne entre 2 500 et 3 500 € brut/mois

    En libéral, les revenus peuvent grimper entre 5 000 et 10 000 € voire plus, selon la clientèle, la région, etc.

    Mais attention : la rémunération dépend du volume d’affaires, et donc de ton réseau et ta réputation.

    7. Pourquoi si peu de monde s’y intéresse ?

    Parce que :

    C’est un métier mal connu

    Il souffre encore de l’image un peu « austère » des huissiers d’autrefois

    Le parcours est long, et les gens vont plus facilement vers avocat ou notaire, mieux « marketés »

    Pourtant, c’est un métier stable, utile socialement, varié et bien rémunéré, pour celles et ceux qui aiment le concret et la justice.

    Répondre
  5. La réponse de ChatGPT aux questions des commentaires :

    Tu fais bien de poser ces questions, car le métier de commissaire de justice est encore méconnu, alors qu’il a plein d’avantages pour ceux qui aiment le droit, la rigueur… et qui ne sont pas trop allergiques aux situations tendues parfois. Voici un panorama complet, clair et sans jargon :

    1. C’est quoi un commissaire de justice ?

    Depuis juillet 2022, ce métier fusionne les anciens huissiers de justice et commissaires-priseurs judiciaires.

    Leurs missions :

    Signifier les actes de justice (convocations, décisions, etc.)

    Procéder à l’exécution des décisions de justice (expulsions, saisies…)

    Constater des faits via des procès-verbaux (dégâts des eaux, nuisances, etc.)

    Organiser des ventes aux enchères judiciaires (pour les biens saisis)

    Conseiller juridiquement, notamment en recouvrement de créances

    C’est donc un métier avec une bonne dose d’autorité, de contact avec les gens et d’indépendance.

    2. Quel parcours après le bac ?

    Après un bac général (souvent ES ou L puis aujourd’hui STMG ou général avec spé SES/droit) :

    Licence de droit (3 ans)

    Master 1 de droit (1 an)

    Passer le concours d’accès à l’École nationale de commissaires de justice (ENCJ)

    Après un bac pro (services/accueil) :

    Reprendre un parcours universitaire en droit reste possible, mais souvent il faut viser une mise à niveau (DU passerelle ou BTS juridique)

    Ensuite enchaîner sur une licence de droit, puis master, comme pour un bac général

    En bref : le parcours est long (minimum 5 ans après le bac), mais possible même avec un bac pro si tu es motivé(e) !

    3. Et le concours, il est dur ?

    Oui, c’est un concours exigeant car il y a :

    Une épreuve écrite (cas pratique juridique)

    Une épreuve orale (entretien sur les missions, éthique, motivations)

    Puis une formation de 18 mois à l’ENCJ (alternance cours/stage)

    Et enfin un examen final de contrôle des connaissances

    Les taux de réussite sont corrects si tu viens d’un Master en droit et que tu bosses sérieusement. C’est surtout la formation qui trie les plus motivé(e)s.

    4. Vie pro / vie perso ?

    Les commissaires de justice peuvent :

    Travailler en libéral (leur propre étude = plus de liberté mais aussi plus de responsabilités)

    Ou être salariés d’une étude

    Horaires : ça dépend du mode d’exercice. En libéral, on travaille beaucoup (urgences, délais, astreintes parfois), surtout les premières années. Mais :

    Pas de permanences de nuit

    Pas d’astreinte week-end, sauf cas très particulier

    Pas mal de déplacements sur le terrain (domiciles, entreprises…)

    C’est donc intense, mais pas invivable. Le rythme se stabilise avec l’expérience.

    5. Les difficultés du métier ?

    Affronter des situations parfois conflictuelles (expulsions, saisies, constats de voisinage…)

    Résister au stress, rester impartial, garder son sang-froid

    Se mettre à jour juridiquement tout le temps

    Avoir un bon relationnel, même face à des gens pas contents de te voir débarquer

    Et le poids administratif, comme souvent dans les métiers de justice

    Mais ce sont aussi ces défis qui en font un métier respecté, bien rémunéré, et intellectuellement stimulant.

    6. Et justement, ça paye bien ?

    Oui :

    Un jeune commissaire salarié gagne entre 2 500 et 3 500 € brut/mois

    En libéral, les revenus peuvent grimper entre 5 000 et 10 000 € voire plus, selon la clientèle, la région, etc.

    Mais attention : la rémunération dépend du volume d’affaires, et donc de ton réseau et ta réputation.

    7. Pourquoi si peu de monde s’y intéresse ?

    Parce que :

    C’est un métier mal connu

    Il souffre encore de l’image un peu « austère » des huissiers d’autrefois

    Le parcours est long, et les gens vont plus facilement vers avocat ou notaire, mieux « marketés »

    Pourtant, c’est un métier stable, utile socialement, varié et bien rémunéré, pour celles et ceux qui aiment le concret et la justice.

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